Cuba, o insulă ecologică la 80% în producția de fructe și legume.

Bună Janic,

Ma timide comparaison se bornait au comportement social, pas à la faculté de mordre

Ahmed a scris:Nu știam că ai canini atât de mari!
Nu aș vorbi despre un bucătar, ci mai degrabă despre un fetiș (căruia îi sunt supuși bucătarii, Dixit Marx: „Dominantii sunt dominati de propria lor dominatie”.

A la lecture de cette citation, peut-on penser que le fétiche local était le riz, puisque seul le riz pouvait dominer le roi (même s'il disait se hisser à sa hauteur)?

Andrianampoinimerina (1786-1810)
L’Histoire des Rois
•
« ...La raison pour laquelle j’ai construit les
digues, c’est pour me permettre de faire vivre mon
peuple... Les guerres sont maintenant terminées et ce
qu’il me reste à faire, c’est de rassasier vos femmes et
vos enfants... ».
•
« Je vais partager la terre, je donnerai une rizière à
chaque homme, je veillerai à ce que tous aient le
même ventre, car ils sont tous mes sujets, les petits
comme les grands ; je diviserai la terre en rizières
pour vous permettre de me servir ; ... ces rizières que
je vous donne, tant aux sujets libres qu’aux esclaves,
c’est afin d’assurer votre subsistance ; c’est pour y
être enseveli à votre mort ».
•
« Le riz et moi, nous sommes égaux ; il n’y a personne
qui soit mon égal, mais le riz l’est. ».

Il faudrait connaître précisément le contexte culturel de ce texte pour attribuer ou non le statut de fétiche au riz. Comme tu le sais, le fétichisme consiste à projeter une construction sociale en une sphère extérieure d'où le fétiche influe sur le comportement de la communauté. Ici, sans précisions supplémentaires, il est juste possible de constater que le pouvoir s'associe à une symbole très fort.

D'après des informations que je viens de recevoir, une hausse des prix d'environ 30% à Madagascar rend la situation de plus en plus difficile pour tous ceux, et ils sont nombreux, qui sont dans la pauvreté. Ceci montre que l'orientation vers l'autosuffisance alimentaire est primordiale et que le "développement économique", quant à lui, reste une option très spéculative...

hi ,

Je ne sais pas si le riz est dans une sphère extérieure, mais je pense bien qu'il influence le comportement de la communauté qui en vit.
On le cuit toujours avec de l'eau pure, pour ne pas le salir, même le sel se rajoute après.

Tes informations sont exactes, les prix du riz au détail dans la capitale sont environ 5 fois le prix "boursier" du riz. (1 §/kg contre 0,2 §/kg)

En cette période de sécheresse, on assiste à une ruée de petits transporteurs vers le port de Tamatave, logique car c'est le plus grand axe routier* du pays, entre la capitale et le port.
Le reste du pays est comme enclavé, c'est un comble, mais c'est plus facile d'aller chercher du riz au port, que dans les campagnes productrices...
En fait, l'importation (de riz industriel subventionné) ne dépasse pas, bon an mal an, 5 à 10 % de la consommation. (4 milliards de tonnes produites et 100 à 300 mille tonnes d'importés)

* Une autoroute est en projet!

Ahmed a scris:V-, ce vrei să spui exact prin această remarcă:

Astăzi, roboții trebuie să fie impozitați!

J'avais zappé ce sujet.

Je ne sais plus où j'ai écrit ça et dans quel contexte !

Mon raisonnement de béotien devait être :

- je rêve du jour où l'homme n'a plus besoin de travailler, et en particulier en ce qui concerne les travaux mécaniques, répétitifs...

- loin d'y voir un problème, j'y vois une solution...

- mais en effet, nos systèmes sociaux (éducation, santé, foyers pour personnes dépendantes, diminuées, etc etc) [et quelques autres - défenses, sécurité, etc...] sont tous financés à partir de la taxation des revenus (CSG, CRDS) ou à partir de cotisations...

- donc "supprimer" le travail "bête" serait un grand pas en avant, mais pose la question du financement ces activités mutualisées... [je ne parle aps des "loisirs individuels"] ; tant qu'on ne "découple" pas, le débat politique autour de ce sujet sera corrompu entre partisans du partage du travail (suivez mon regdard) et partisan d'un ultra-libéralisme favorable à une optimisation des profits par ce "moyen"...

D'où cette remarque un peu bête, que j'ai faite je ne sais plus où...

Ce débat a eu lieu sans toi, car d'autres ont répondu pour toi!

- loin d'y voir un problème, j'y vois une solution...

Sauf que cette solution n'est pas déployée pour résoudre ce problème (de travail bête et répétitif).

Bien entendu !!

Comme les connaissances ne sont pas mobilisées, par le "système" (j'aime pas ce mot, mais pas la peine d'épiloguer), pour produire des énergies renouvelables ou pour jardiner paresseux sans pesticides ou pour plein d'autres choses... A titre d'exemples.

Le "système" a intérêt à ce qu'on travaille pour consommer et qu'on consomme pour travailler (car c'est bijectif !).

Donc c'est une "possible solution" qu'il fallait lire.

Did67 a scris:
et en particulier en ce qui concerne les travaux mécaniques, répétitifs...

Bien entendu, avec ma phobie, à l'hôpital, je préfère que ce soit une infirmière qui me pique, plutôt qu'un robot très perfectionné (qui, techniquement, le ferait éventuellement mieux !).

Là encore, à titre d'exemple...

Alors on peut rêver d'un monde où j'apprends aux infirmières comment produire des légumes sans se fatiguer et qu'en retour, elles m'apprennent à ne plus avoir peur des piquouses !

J'ai bien écrit "rêver" !...

Inutile de rectifier, j'avais bien compris le sens qui était clair: tu as écrit "j'y vois une solution" et non "c'est la solution".

qu'en retour, elles m'apprennent à ne plus avoir peur des piquouses !

ou mieux encore, ne plus avoir besoin de piquouses!