C’est la belle prise de la plateforme française lancée ce 20 octobre. Le quatrième volet de l’anthologie inspirée du film des frères Coen déménage dans le Kansas City des fifties, et donne à son engrenage criminel une teinte plus politique. Le résultat, toujours impeccablement incarné et mis en scène, manque un peu de chair et révèle les limites du format.
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Publié le 20 octobre 2020 à 21h00
Mis à jour le 08 décembre 2020 à 00h13
Le scénariste et réalisateur Noah Hawley (Legion) a transformé en franc succès un des projets d’adaptation les plus périlleux de ces dix derniers années, celui s’inspirant du film des frères Coen, Fargo (1996). Après une première saison proche de son modèle, en 2014, il a exploité, dans deux nouvelles histoires inédites, l’originalité du récit des Coen (ces trois premières saisons de Fargo sont également disponibles sur Salto).
À chaque fois, un même engrenage criminel chaotique dans lequel une poignées de ploucs du Nord américain enneigé s’entretuent pour quelques dollars. Une mécanique bien huilée, avec flics, truands et braves citoyens pas très malins, que Hawley tente de rafraîchir
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