Este cercetarea fuziunii la rece credibilă?

Inovații, idei sau brevete pentru dezvoltare durabilă. Scăderea consumului de energie, reducerea poluării, îmbunătățirea randamentelor sau proceselor ... Mituri sau realitate despre invențiile din trecut sau viitor: invențiile lui Tesla, Newman, Perendev, Galey, Bearden, fuziunea la rece ...
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de Obamot » 24/11/14, 19:46

les deux :

c'était une question

et parce que c'était pas une question en vrai, Imagine noapte bună
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Re: Cercetarea fuziunii la rece este credibilă?




de Gildas » 19/02/16, 13:27

fusion_froide_La_Tribune.gif
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http://www.pressreader.com/france/la-tr ... 4/TextView

Source:Quanthomme
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Re: Cercetarea fuziunii la rece este credibilă?




de moinsdewatt » 20/02/16, 13:22

Article complètement creux qui n' apporte strictement rien sur le sujet. : Roll:
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Re: Cercetarea fuziunii la rece este credibilă?




de Gildas » 20/02/16, 18:02

a scris:Article complètement creux qui n' apporte strictement rien sur le sujet. : Roll:

Ah? La suite de l'article alors:

Referirea:

UNE CONTROVERSE SCIENTIFIQUE QUI S’ÉTEINT…

Fleischmann et Pons, le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et le California Institute of Technology (Caltech) ont essayé, en vain, de répliquer l’expérience. Ils ont aussi rédigé et publié dans la revue Nature un article incendiaire sur cette fameuse « fusion froide ». Le tout en moins de cinq semaines. Du jamaisvu », ironise Nicolas Chauvin, cofondateur de la startup suisse LENR Cars SA, un grand spécialiste du secteur basé à Ecublens (Suisse).

De son côté, ancien maître de conférences en physique à l’université d’Aix-Marseille, aujourd’hui chercheur indépendant à la retraite, Jean-Paul Bibérian confirme : « Le CNRS m’a obligé à arrêter mes recherches sur la fusion froide bien qu’elles ne coûtent pas grand-chose »… surtout comparé au projet de réacteur à fusion chaude Iter (16 milliards d’euros) et à celui d’enfouissement des déchets radioactifs à Bure (25 milliards d’euros).

La fusion froide : Interview de Jean Paul BIBERIAN

https://www.youtube.com/watch?v=Cu8H1JNJLa0
Depuis, les problèmes méthodologiques qui empêchaient de reproduire l’expérience de Fleischmann et Pons ont été résolus dans des universités. D’abord en Italie, puis en Russie, Ukraine, Inde, Japon, Chine, Suède, Royaume-Uni, Grèce et États-Unis – mais pas en France. Chat échaudé craignant l’eau froide, la communauté de la fusion froide préfère désormais parler de « physique de la matière condensée », ou plus simplement de LENR. En vingt-cinq ans, plus d’un millier d’articles scientifiques ont ainsi été publiés dans des revues à comité de lecture. Et certains procédés LENR ont même fait l’objet de validations techniques par des universités ou des instituts indépendants.

LE NUCLÉAIRE DEVIENT UN SUJET POUR CHERCHEURS INDÉPENDANTS

Avec la fusion froide, le nucléaire n’est plus l’apanage de la recherche institutionnelle. Comme celle-ci fonctionne à basse température, elle devient accessible à des moyens presque artisanaux.

Dans le sillage de l’ostracisme imposé par la revue Nature à la fusion froide, de nombreux physiciens qui, malgré tout, voulurent travailler sur ce thème, ont dû faire une croix sur leur carrière académique et le financement de leurs recherches. Ils ont alors « bricolé » des réacteurs sur la paillasse de leur labo domestique. En clandestins. « Comme on travaille à basse température, le nucléaire est devenu un sujet pour chercheurs indépendants », reconnaît Julien Sase, jeune chercheur indépendant qui travaille au sein d’un réseau d’entraide avec toute une communauté de scientifiques. Le nucléaire n’est donc plus l’apanage des grandes universités ou centres de recherche institutionnels.

Danger ou opportunité ? Penchons plutôt pour l’opportunité car les chercheurs indépendants peuvent faire preuve d’éthique. « Je travaille sur une réaction nucléaire à basse température (LENR) peu connue : la capture électronique, explique Julien Sase, dont le dernier réacteur fonctionne avec un mélange d’eau et d’ammoniac aux alentours de 100 °C qui alimente une turbine électrique. Je ne lancerai rien tant que je ne maîtriserai pas mon réacteur à 100%. Je ne veux pas tomber dans le piège de la tentation du gain trop rapide qui peut générer des problèmes inconnus. » Le jeune chercheur multiplie les dispositifs de sécurité, d’autant qu’il monte une association pour rendre des écovillages autonomes en énergie… avant de créer sa startup. ■ E. H.

UNE MOBILISATION INDUSTRIELLE EN MARCHE

Curieusement, on ne sait toujours pas expliquer la réaction de la fusion froide. Cependant, on arrive de mieux en mieux à la maî- triser et à la reproduire. Le tout avec des matières premières très abondantes et bon marché comme le nickel, le lithium et l’hydrogène. Et sans pollution ni émissions radioactives dangereuses. Et cela change tout ! Selon E-Cat World, un site de réfé- rence dans la communauté LENR, près d’une centaine d’organisations dans le monde s’intéresse à ce domaine. On compte même des industriels comme Airbus (qui a déposé un brevet), Boeing, Mitsubishi Heavy Industry, Renault-Nissan, Shell, Toyota… Parmi les institutions, citons l’indien Bhabha Atomic Research Center (Barc), Elforsk (Suède), l’agence nationale des nouvelles technologies, de l’énergie et de l’économie durable italienne (Enea), la Nasa, l’US Navy, Le Stanford Research Institute (SRI), la Chinese Nuclear Society, la Défense suédoise…

Autrement dit, la fusion froide redevient d’actualité. Principalement avec l’émergence de quelques dizaines de startups amé- ricaines comme Leonardo Corporation (qui a levé 62 millions de dollars), Brilliant Light Power, Brillouin Energy Corporation, Brust Energy, Jet Energy. Au Japon, mentionnons Clean Planet, au Royaume-Uni, Clean Nuclear Power LLC ; en Suède, Hydro Fusion ; en Italie, Is Tech, NicHenergy et Prometeon SRL ; en Suisse, LENR Cars et LENR Cities ; en Allemagne, Lightstone Technologies et, en Russie, New Inflow… Autant de jeunes pousses qui sont dans les starting-blocks pour vendre le premier réacteur LENR. « Pendant vingt-cinq ans, seules quelques universités ont investi dans les LENR à hauteur de 5 ou 10 millions d’euros par an au niveau mondial, reprend Nicolas Chauvin qui dispose de trois réacteurs LENR destinés au monde des transports. Le coup d’accélérateur a eu lieu ces trois dernières années. En 2014, les investissements sont passés de 20 à 30 millions d’euros. L’année dernière : 100 millions d’euros. Cette année, ils devraient atteindre entre 300 et 500 millions d’euros. »

« L’époque où l’on se moquait de la fusion froide est désormais révolue », affirme Michel Vandenberghe, DG de la startup suisse LENR Cities, qui crée des écosystèmes pour favoriser l’adoption industrielle des LENR dans le monde (voir l’entretien, ci-dessus). Et d’évoquer l’accord de collaboration entre Clean Planet Inc. et le Research Center for Electron Photon Science de l’université de Tohoku (Japon) – en collaboration avec la société Head – qui bénéficie d’un financement public du Nedo, l’homologue nippon de l’Ademe. Outre la volonté de renforcer la recherche fondamentale en LENR, le Nedo vise à développer d’ici à 2018 des procédés de production d’énergie et à décontaminer les déchets nucléaires par transmutation de la matière. « Mitsubishi a déjà déposé des brevets à ce sujet. Lorsque l’on prépare un métal avec des technologies de nano-métallurgie, par exemple le nickel, le matériau se comporte comme une éponge à hydrogène. C’est de la matière “condensée”, explique Didier Pelluet, DGA de LENR Cities SA. En l’excitant avec de l’électricité, un laser ou même du son, il se produit des réactions nucléaires de transmutation : par exemple, du cuivre “pousse” ainsi dans le nickel ! Sans émission de rayons gamma [hautement radioactifs, ndlr]. »

C’est sur ce principe de transmutation que l’on peut transformer l’uranium, le plutonium ou encore le césium, hautement radioactifs, en lithium, voire en plomb parfaitement inoffensif. « Ces phénomènes sont connus mais il faudrait l’énergie d’une centrale nucléaire pour y parvenir ! C’est là qu’interviendront les LENR, car on pourrait le faire à très basse température et à bon compte », poursuit Didier Pelluet de LENR Cities, qui contribue à mettre en place le projet NewK, un écosystème de 11 entreprises autour de la société Sellafield pour structurer une filière industrielle européenne du recyclage des déchets nucléaires au Thornton Scientific Park, près de Chester, au Royaume-Uni.

DES RÉACTEURS PROCHES DE LA COMMERCIALISATION

Pour l’heure, la plupart des projets ne dépassent pas le stade du prototype de laboratoire. Néanmoins deux d’entre eux semblent proches de lancer leurs produits sur le marché. À commencer par la société Leonardo Corporation. Son réacteur LENR, baptisé E-Cat, qui utilise de l’hydrogène ainsi que des poudres nano-structurées de nickel et de lithium, a été conçu par le chercheur-entrepreneur Andrea Rossi et le chercheur Sergio Focardi de l’université de Bologne (Italie). En octobre 2014, E-Cat a été le premier réacteur LENR à faire l’objet d’une validation technique indépendante réalisée notamment par des chercheurs de l’université de Bologne, de l’université d’Uppsala (Suède) et de l’Institut royal de technologie de Stockholm. Pendant trentedeux jours, ce minuscule appareil de 33 cm de long et 12 cm de diamètre a dégagé une température comprise entre 1 260 °C et 1 400 °C, a généré 1,5 MW, soit entre 3,2 et 3,6 fois plus d’énergie qu’il n’en a consommé. À l’heure actuelle, Andrea Rossi développe toute une gamme de prototypes E-Cat, allant du générateur domestique de 10 kW jusqu’à la station de 1 MW pour l’industrie, déjà en test sur un site.

Autre pionnier, le californien Brillouin Energy Corporation a fait la démonstration, le 2 novembre dernier, de ses deux réacteurs WET et HHT devant les membres du Congrès américain. « Ce fut l’occasion de montrer que nous sommes proches de la commercialisation de nos produits », commente Robert Godes, président et directeur technique de la société. « Le rendement énergé- tique est d’un facteur 4 [400 %, ndlr] et potentiellement davantage », confie Michael McKrube, directeur jusqu’en 2009 du centre de recherche sur les énergies de SRI International qui, en janvier 2015, a eu accès au laboratoire de la startup et procédé à des tests dans ses propres installations. « Cette transparence crée un climat de confiance nécessaire pour envisager d’industrialiser la technologie de Brillouin Energy », souligne Michael Halem, directeur général de LENR Invest, un fond américano-suisse qui investit également dans les startups LENR Cars, Lenuco LLC et NicHnergy. Reste que, pour l’heure, c’est Brillouin qui figure dans la liste AlwaysOn Global 100 des « 100 entreprises de la Silicon Valley à surveiller de près ». Autre espoir, la société russe New Inflow affirme avoir élaboré une nouvelle théorie scientifique, ainsi que des modèles mathé- matiques capables de simuler les LENR. Une avancée qui lui permet d’obtenir des rendements de 600 % à 800%. ■

ENTRETIEN MICHAEL VANDENBERGHE, DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LENR CITIES SA

« LA PHYSIQUE EST À LA VEILLE DE GÉNÉRER DES RUPTURES ÉCONOMIQUES MAJEURES… »
LENR Cities SA est une startup suisse visant à développer des écosystèmes industriels qui favorisent l’adoption des technologies de la fusion froide. Son DG en évoque ici le fabuleux potentiel

LA TRIBUNE – Pourquoi la fusion froide est-elle une révolution?

La force de disruption des technologies de réactions nucléaires à basse énergie (LENR) est si importante qu’elle pourrait profondément perturber les économies et la géopolitique mondiales. En effet, les LENR proposent une énergie propre, abondante, décentralisée et « pervasive »… Que cela signifie-t-il? Demain, nous pourrons faire voler toutes sortes d’objets, transmuter les déchets nucléaires en matériaux inoffensifs, fabriquer des micro- ou nanocentrales aussi bien pour les usines et les maisons que pour les véhicules. La moindre carte électronique embarquera son propre générateur d’énergie. C’est une révolution pour un très grand nombre de produits.

En quoi les écosystèmes que vous voulez créer vont-ils favoriser l’adoption des LENR?

Une technologie ne se diffuse que si le marché l’accepte. Il faut donc proposer des modèles économiques qui en accélèrent l’adoption. D’où l’idée des écosystèmes qui permettent aux acteurs de se rassembler, d’échanger les expériences et mutualiser leurs risques. C’est ce que nous faisons avec Airbus ainsi que dans le cadre du projet NewK qui vise à construire au Royaume-Uni une filière européenne du retraitement des déchets radioactifs. Cette filière réclame de mobiliser énormément d’énergie. En réalité, toutes les industries ont besoin d’énormément d’énergie. Or, celle-ci est chère. Si on modifie cette équation, on transforme radicalement l’industrie et les transports.

Quels sont les blocages à lever?

Tout d’abord, les physiciens sont indispensables mais très rares. Ensuite, on a besoin de matériaux nanostructurés qui sont produits en quantités insuffisantes et manquent de certification. D’ailleurs, il faudra standardiser les composants LENR pour faciliter leur intégration aux produits finaux. Nous entrons dans une ère où la physique sera à l’origine de ruptures majeures. ■ PROPOS RECUEILLIS PAR ERICK HAEHNSEN

http://sans-langue-de-bois.eklablog.fr/ ... a125034570
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de moinsdewatt » 20/02/16, 20:42

Encore une compilation stupide de faits inexistants.

Quelle misére ce journalisme à la noix.
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de Raymon » 21/02/16, 11:38

C'est vrai de grande entreprise genre Airbus ou des journaux genre la tribune cela ne fait vraiment pas sérieux...
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Re: Cercetarea fuziunii la rece este credibilă?




de moinsdewatt » 21/02/16, 13:26

raymon a scris:C'est vrai de grande entreprise genre Airbus ou des journaux genre la tribune cela ne fait vraiment pas sérieux...


l' article n' est pas dans la Tribune mais sur cette chose http://sans-langue-de-bois.eklablog.fr/

et pour Airbus, ils n' effectuent pas de recherche la dessus. Ils n' ont fait qu' abriter une fois des conférences sur le sujet.

Je vous défie de présenter des papiers signés Airbus qui présentent le moindre résultat.
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Re: Cercetarea fuziunii la rece este credibilă?




de Raymon » 21/02/16, 13:52

Si tu veux acheter la tribune du 11 février c'est là:
http://www.epresse.fr/magazine/la-tribu ... 1/sommaire
le sommaire:
http://www.epresse.fr/magazine/la-tribu ... 2016-02-11
Je n'ai pas besoin d'acheter l'article je suis déjà convaincu.
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Re: Cercetarea fuziunii la rece este credibilă?




de moinsdewatt » 21/02/16, 14:03

raymon a scris:Si tu veux acheter la tribune du 11 février c'est là:
http://www.epresse.fr/magazine/la-tribu ... 1/sommaire
le sommaire:
http://www.epresse.fr/magazine/la-tribu ... 2016-02-11
Je n'ai pas besoin d'acheter l'article je suis déjà convaincu.


et bien La Tribune devrait se passer des services de ce Monsieur ERICK HAEHNSEN.
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Re: Cercetarea fuziunii la rece este credibilă?




de Obamot » 22/02/16, 04:24

@ Raymon: sur le thême de ce fil, j'avais questionné mon prof de chimie/physique et ancien chercheur (après avoir ètè un des pontes de la chimie à l'Uni et collègue de Charpak au CERN) il m'avait dit que ce n'était pas crédible, du moment que cela ne pouvait marcher en l'état (ni n'en avait la preuve), puisqu'il n'y a aucune raison que de tels dispositifs échappent aux lois de la physique/chimie déjà connues. c'est donc un faux débat, parce que pour être crédible il faut mettre les bœufs devant la charrue, donc apporter des preuves solides avant de faire des anonnces!

Ainsi pour le momemt, je trouve qu'il n'y a pas lieu. (Lorsque l'on est de bonne volonté comme toi, à vouloir défendre la recherche pure et indépendante - ce qui est très louable de ta part - il faut aussi veiller à ne pas tomber de le panneau de prospecteurs un peu trop zêlés à faire des appels de fonds, basés sur des promesses non tenues...Car d'une part on peut devenir le jouet de bonimenteurs particulièrement habiles, et d'autre part il serait dommage de prendre des risques à la place desdits prospecteurs, pour compromettre sa propre crédibilité).
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