Le Potager du Sloth: Gradinarit fara oboseala mai mult Bio

Agricultură și sol. Controlul poluării, remedierea solului, humus și noi tehnici agricole.
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Did67
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de Did67 » 11/05/15, 11:45

Macro a scris:
D'habitude je m'en debarassais avec ma vieille methode des braches de rosiers avec un peut de perseverance ...


Je crois que l'histoire des taupes hémophile est... une légende !

http://fr.wikipedia.org/wiki/Taupe_d%27Europe

http://lahulotte.fr/courrier_taupe1.php

En revanche, hier soir encore une rapide discussion avec la copine de mon fils horrifiée par ma "cruauté" :

a) dans un espace donné ("biotope"), de façon tout à fait naturelle, une espèce vivra "en équilibre" [donc va s'installer une population, qui va osciller autour d'une moyenne]

b) la prolificité des espèces est très généralement très supérieure à cette population d'équilibre, en prévision de plein de pertes "naturelles" : maladies, inondation, froid plus sévère, prédateurs...

c) en installant un "jardin naturel", avec de la paille, comme "couvert", des cultures de légumes- racines qui sont leur plat favori, on crée un développement "anormal", non écologique, anthropogène... Donc fort logiquement, une explosion de la population.

Et comme ils sont bine planqués sous terre, les rapaces ne contrôlent pas grand chose.

d) je me sens tout à fait légitime dans mon rôle de super-prédateur en essayant de contrôler la population, avec mes pièges...

Sauf à verser dans une sensiblerie qui n'a rien d'écologique (ce n'est qu'un usage abusif, même s'il est de bonne foi, de ce terme), il faut rétablir l'équilibre : donc sur 20 ou 50 jeunes campagnols qui naissent en une saison, seuls deux ont vocation, dans une population stable, à remplacer les ainés. Les autres, "naturellement" doivent... mourir ! Les pièges-guillotine le font sans trop faire souffrir (si on pense à des combats entre mâles qui peuvent être cruels et blessants et conduire à une mort lente - je ne sais si c'est le cas entre campagnols mâles, mais cela s'observe chez d'autres espèces, dès que la population dépasse des seuils... OU encore à comparer à une mort lente par "famine". Ou une mort lente frigorifié l'hiver...).

C'est en tout cas mon point de vue.
Dernière édition alin Did67 20 / 05 / 15, 17: 23, editate 2 ori.
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Macro
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de Macro » 11/05/15, 13:43

J'ai lu aussi que les taupes n'etaient pas comme on le dit souvent hémophiles...J'en ai meme une qui a retourné une partie de l'allée en diorite compactée...C'est pour ca que je suis sur que l'espece c'est Caterpillard.. : Cheesy: Pour ma friche je l'ai completement fraisée a 25cm de profondeur il y'a un mois( on dirait qu'on marche sur de la mousse et bizarement les taupes n'y viennent pas) et j'ai déjà des orties de la menthe citronée (melisse) et des fraisiers qui repoussent au milieu des rosabelles et des battavia: ca va etre du plus bel effet : Cheesy:

pour cette année c'est foutu que penses tu de metre le "paillage ) en place cet autonme car j'ai mes 12 tilleuils a tailler en louant un bon gros broyeur ca va me faire un bon tas de copeaux a etaler...

Remarque avec la fleur de tilleuil et la melisse quelques bonnes tisanes et no stress les mauvaises herbess : Cheesy: : Cheesy:

Pour info avant c'était un enclos ou vivaient quelques poules depuis quelques décennies...
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de highfly-dependent » 13/05/15, 01:32

Did67 a scris:...

c) en installant un "jardin naturel", avec de la paille, comme "couvert", des cultures de légumes- racines qui sont leur plat favori, on crée un développement "anormal", non écologique, anthropogène... Donc fort logiquement, une explosion de la population.

...


Salut Did et merci pour ce fil.

La solution à ce problème réside peut être dans la "dilution", c'est à dire disséminer les légumes les plus appétents pour tes charmantes bestioles au milieu de plantations moins attractives.

Bon, évidemment pour les carottes, ça peut vite être fastidieux. Mais pour les betteraves, poireaux ou panais, ça marche pas mal chez moi.
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de Did67 » 13/05/15, 11:04

C'est en effet, une stratégie possible !

Le jardin "pagaille", il n'y a pas mieux comme "système auto-stabilisant"...

Cela bute, chez moi, sur un problème : l'exposition sud-ouest de cette prairie, en haut d'un versant, en fait une "prairie sèche". Le sol n'est pas épais (en bêchant, du temps où je bêchais, j'arrivais sur la caillasse - la roche-mère).

J'ai donc un sérieux problème de sécheresse l'été.

Deux stratégies possibles :

- le travail façon permaculture, en faisant des buttes : on double l'épaisseur de la terre sur la moitié de la surface et on creuse les allées ; en enterrant des troncs, on met une "éponge" (bois en décomposition) ; c'est un travail possible, mais qui me rebute - contradiction avec le premier axiome de mon approche (jardiner sans fatigue)

- collecter les eaux de pluie et arroser au goutte-à-goutte ; c'est l'option que je développe ; il y a aussi du travail : installer des citernes, les habiller popur pas que cela ne jure dans le paysage ; mais j'envisage d'installer une serre de production, donc là, il me faudra de toute façon arroser... Et ces "cubis" de 1 000 l seront le support de ma terrasse adjacente à la maison...

Du coup, la culture en lignes est bien pratique pour poser des lignes de goutteurs... Elle a quelques autres avantages au niveau de gérer des zones (par exemple, les zones en régénération semées de trèfle...), sous forme de bandes regroupant quelques lignes...

De même, j'ai des bandes à BRF avec les cultures qui conviennent (fraises, courges, etc..) ; des bandes à foin (pour les semis)...

Mais ta tactique serait tout à fait bonne aussi, même si j'en ai adopté une autre...

J'essaye une variante : mettre des "zones" de plantes attractives à mes pirncipaux nuisibles, à proximité du jardin, mais en dehors...

J'ai déjà des "élevages de pucerons" (plantes favorables telles que chèvrefeuilles, sureau, capucines...) ; du coup, toujours des coccinelles dans les parages... en cas d'infestations au jardin - je les laisse faire alors !

Je prépare des bandes pour semer des rutabagas, histoire de "détourner" les campagnols... et de les "sortir" du jadrin...

Et j'ai pensé à des plates bandes d'Hostas pour "élever des limaces pour nourrir des carabes, et si possible amadouer une famille de hérissons - ce que je n'ai pas encore réussi...

Je gère donc la mixité à une échelle plus grande : le jardin et ses abords, qui, dans mon espirt, font partie du "système je produis mes légumes sans efforts et sans intrants..."

A la périphérie, sur le bout de prairie restante, j'épands aussi la sortie de ma fosse (je ne suis pas raccordé), ce qui me permet de récupérer les éléments nutritifs contenus dans nos déjections, mais en passant par la biomasse (prairie) donc une rupture de cycle totale...

Je cultive des haies pour abriter des auxiliaires, mais aussi pour produire de la biomasse (BRF), à partir d'une extraction de minéraux des couches profondes, ce dont sont capables les arbres...

Donc mon jardin, c'est le jardin sensu stricto, mais c'est aussi la prairie juste à coté, la haie juste en bordure de la prairie...
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de Did67 » 14/05/15, 09:06

Macro a scris:
Pour ma friche je l'ai completement fraisée a 25cm de profondeur il y'a un mois( on dirait qu'on marche sur de la mousse et bizarement les taupes n'y viennent pas) et j'ai déjà des orties de la menthe citronée (melisse) et des fraisiers qui repoussent au milieu des rosabelles et des battavia: ca va etre du plus bel effet :cheesy:

pour cette année c'est foutu que penses tu de metre le "paillage ) en place cet autonme car j'ai mes 12 tilleuils a tailler en louant un bon gros broyeur ca va me faire un bon tas de copeaux a etaler...

Pour info avant c'était un enclos ou vivaient quelques poules depuis quelques décennies...


Quelques éléments de réponse / avis :

1) Si des poules y ont vécu, tu peux penser que cela a été fertilisé comme il faut par les déjections - cela dépend évidemment du nombre de poules / surface ! Cela pourrait donc ne pas être ta priorité.

2) Je ne sais pas si c'est le cas, mais les poules sont de sacrés tondeuses et dans un enclos occupé par les poules, la végétation dérive vers des plantes assez rustiques et assez costaudes, genre rumex, chénopodes, etc...

Si c'est le cas, en revanche, tu auras un "problème" de contrôle des adventices supérieur à la moyenne.

3) Le fraisage est un bon élément anti-taupes (ou anti-campagnols) : ton coup de fraise leur détruit les galeries et dans la terre meuble, elles ont du mal à en reconstruire.

Au point que j'ai envisagé d'introduire une année, un coup de fraise dans mon jardin, si je n'arrive pas à contrôler, en contradiction totale avec mon approche "sans travail" !

4) Il n'y a pas de saison obligatoire pour commencer. Bien sûr, l'idéal, c'est de couvrir à l'automne.

Mais je "traite" aussi des surfaces en pleine saison : un coup de tondeuse, une couverture épaisse et je plante quelques temps après. Pour tout ce qui est arbustes ou végétaux en godets, le sol est juste un peu dur. Mais je fais u petit trou au plantoir, et basta. Et cela marche.

Avec des plants en pots / godets donc, pas de problème.

En revanche, pour semer, c'est autre chose : là, l'automne est idéal. Tu laisses passer 6 mois et l'hiver, et au printemps, sous le foin, c'est assez propre...

5) BRF : je te rappelle que dans les zones que j'ai BRFé, à haute dose (épaisseur = 1 main ouverte), cela contrôle très bien la végétation. Mais pendant au moins deux ans, j'ai des difficultés avec le semis, comme si la décomposition de ce BRF avait un effet anti-germinatif.

Je réserve donc à des zones où je vais planter : fraisiers, fruits rouges, tomates, aubergines, choux, etc...

Là où je vais semer, je travaille avec le foin (ou le gazon).

6) J'aurais tendance à plaider pour une approche "équilibrée" ou une rotation entre différents types de couverture du sol, chacun ayant des caractéristiques :

a) BRF : ligneux (bois) ; couvre bien et longtemps (2 ou 3 ans) ; favorise les champignons (extracteurs de minéraux) ; est pauvre en azote donc effet dépressif sur la culture ; effet structurant important - enclenche un processus d'humification : est donc aussi une action à long terme ; ne nourrit pas les vers de terre (même s'il y en a sous le BRF, à partir des autres matières organiques - végétaux morts ; aurait, je pense, un effet anti-germinatif (peut-être est-ce la conséquences de la présence des champignons ?)...

b) Paille - foin - tonte de gazon séchées : sont des cellulosiques ; nourrissent bien les vers de terre qui foisonnent et travaillent le sol ; effet dépressif décroissant de la paille, pauvre en azote, à la tonte de gazon, qui est riche ; se décomposent vite (de plus en plus vite de la paille à la tonte de gazon) ; entretiennent une vie intense ; on peut semer dans des lignes ouvertes au couteau ; apports d’éléments nutritifs (de plus en plus riche en allant de la paille vers les tontes ; peu/pas de formation d'humus donc pas d'effet long terme...


Indépendamment du zonage "endroits pur planter" / "endroits pour semer", j'ai, cette année, tendance à mélanger un peu et à m'inspirer des techniques dites "lasagnes". Je saupoudre par exemple les tontes de gazon en couches minces, pour que cela sèche comme du foin et reste léger (sinon, cela devient compact, chauffe et fermente), par-dessus le foin ou le BRF...

Il ne faut pas oublier, dans ces "couches", les transferts horizontaux d’éléments fertilisants. Les tontes de gazon sont des "éléments nutritifs organiques", que le gazon a prélevé là où il pousse, et qui vont être libérés lentement (enfin lentement par rapport à un engrais chimique ; rapidement par rapport à a de la paille ou du BRF) là où on le répend.

Si la paille et le BRF sont très déséquilibrés en azote, le gazon, lui, est bien plus équilibré. Cela dépend de sa teneur en "légumineuses" (trèfles, lottiers, etc...).

Si tu ne traites qu'avec du BRF, il faut envisager une "zone" où tu cultives du trèfle (trèfle d'Alexandrie, gélif) pour enrichir en azote.

Voilà quelques éléments.
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de Did67 » 24/05/15, 11:57

Haide, quelques nouvelles nouvelles !

Par quoi commencer ???

Un nième appel aux "amateurs" de gazons verts ? Qu'ils pensent à la biodiversité ?

Allez, c'est fait : "Ne tondez que ce qui est nécessaire" : circulation, aire à "pique-nique" ou aire de jeu, et laissez prospérez ailleurs les "fleurs des près" en ayant une pensée émue pour tous les insectes qui en bénéficient !

Je me permets de paraphraser Coluche : "Quand on pense qu'il suffirait que les gens ne les achètent pas pour que ces saloperies ne se vendent plus !" [je parle ici des pesticides, engrais...]


Ci-dessous, une vue générale de mon "jardin d'agrément", avec le "chemin" conduisant au potager.

Imagine

Ci-dessous une vue de détail :

Imagine

Quelques petits conseils :

a) une telle zone particulièrement fleurie ne s'obtient pas la 1ère année (ici, c'est un endroit traité comme je vais le décrire depuis une demi-douzaine d'années !)

b) au départ, dans un gazon tondu, ce sont naturellement les graminées ("herbes") qui dominent, sous nos climats, pour une raison simple : elles sont "conçues" pour. Les graminées ont une adaptation aux "herbivores" qui consiste à se diviser au ras du sol (on dit qu'elles "tallent"). Donc face à une horde d'herbivores ou une féroce et bruyante tondeuse, elles finissent par dominer la scène, les autres plantes, moins adaptées, peinant à refaire une tige, des bourgeons, des fleurs et se faisant dominer !

c) donc même quand on cesse de faucher, il y a une domination de graminées.

d) à partir de là, deux "tactiques" possibles :

1) sursemer : après avoir tondu, semer des graines de "fleurs des champs"

2) être plus patient : ne plus tondre, laisser monter les quelques fleurs en graine, passer un coup de "rotofil" vers fin août : cela "secoue" les fruits devenus murs, les semences des fleurs tombent au sol... et germent l'année d'après...

Donc si vous pratiquez toujours de la sorte : ne pas tondre avant fin août, votre flore va "dériver" d'année en année vers un nouvel équilibre où les "fleurs" auront leur place...

[NB : si vous ne pratiquez pas de fauche tardive, très vite, en quelques années, les ronces et les broussailles, qui ont la caractéristique des "dominer" les annuelles, vont prendre la main. En une quinzaine d'années, vous aurez une sorte de "forêt broussailleuse" !]

e) dernier conseil : ne pas fertiliser ! Les engrais favorisent les graminées, qui sont des gourmandes.

Et si possible "exporter" les tontes, car cela appauvrira le gazon, qui "fleurira" plus... On a vu qu'on pouvait l'utiliser sans problème dans le potager, à condition de procéder par couches minces, en séchant les tontes pour éviter les fermentations (et de toujours garder le sol couvert, sinon, ces "mauvaises herbes germent !). Les "éléments nutritifs" contenus dans les tontes, que le gazon avait prélevé dans le sol, seront transférés de votre pelouse vers votre jardin : ce que j'ai évoqué plus haut sous "transferts horizontaux de fertilité". La "pelouse" est donc une partie du "système plus général" que constitue mon jardin : c'est un "havre de biodiversité" et un "puits d'éléments fertilisants / biomasse" dont j'ai besoin ailleurs.

L'image que vous avez ci-dessus est celle d'une prairie sèche, exposée sud-ouest, sous climat de piémont alsacien. C'est un équilibre naturel (je ferai des photos plus tard, car cela évolue sans cesse, j'ai déjà raté la période "pissenlit" ; plus tard, il y aura les bleuets...)

Dans chaque cas, la flore dépendra du sol, du climat, de l'exposition...

Faites ce que vous voulez, mais au lieu d'empester l'atmosphère avec une bruyante tondeuse toutes les veilles de week-end, buvez donc une petite bière et lisez un bon livre...

Ou, tenez, parcourez ce blog :

http://www.le-jardin-de-jenny.fr/wp-con ... -jenny.pdf

Enfin, vous ferez bien ce que vous voulez !!!
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de Remundo » 24/05/15, 12:18

Merci pour le partage Did ! 8)
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de Did67 » 24/05/15, 18:35

Armistițiul pe partea din față a volei!

On a (un peu) rangé les armes :

Imagine

Finalement, je commence à connaître le comportement de mes bestiaux !!!

J'en ai eu 4 à ce jour (mais aussi 3 taupes, hélas ; les deux espèces cohabitent dans un même terrain ; je crois même que les taupes font le gros du boulot, et les campagnols, opportunistes, empruntent ensuite ces avenues pour aller aux racines !)

Un campagnol fait pas mal de "chantier" sur un certain périmètre. Je pensais en avoir beaucoup plus !

J'ai appris à repérer les "zones actives". Puis essayer de "pointer" la galerie entre deux taupinières (avec une tige de fer, c'est assez facile).

Bien placer le piège.

Cependant, en terrain meuble, il est difficile de garder les galeries propres. Donc le bestiau quand il se déplace, il faut le ménage devant lui. En poussant la terre, il déclenche le système. Donc j'ai pas mal de "faux déclenchements". Je "récolte" alors le piège plein de terre.

J'ai été un peu long à comprendre.

Maintenant, je sais qu'au contraire, c'est bon signe : la galerie est active.

Donc il faut remettre et remettre, le plus proprement possible. Et cela finit par marcher !!!

En terrain stable (sous un gazon), c'est plus facile : le trou fait avec la tarière ne s'effondre pas, la galerie reste propre...



Donc, là, on voit les pièges posés car je ne vois pas de "zone active".

Dès que la trêve n'est plus respectée, je dégaine à nouveau !

L'optimisme revient !!!
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de izentrop » 25/05/15, 00:07

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de Did67 » 25/05/15, 09:02

C'est bien mon cas : ce jardin est au milieu de prairies, elles-mêmes peu exploitées et bien infestées de taupiers !

Je lis régulièrement Gerbeaud (un très bon site !), mais je n'avais pas vu cet article !!!

Je suis assez d'accord avec l'éleveur qui râle : chez moi, c'est entouré de haies, forêts, bosquets... J'ai un couple de faucon-pélerin dans une sapinière à 100 m à peine... Et d'autres rapaces "tournent" régulièrement. [voir la 1ère photo ci-dessus, sur la question de la tonte, pour voir que je suis entouré de haies ; par ailleurs, elles sont installées depuis 12 ans, donc en équilibre, et je continue d'en mettre... Mais je suis envahis ! La recommandation ne serait-elle qu'un mauvais compromis avec des "écolos" qui sont plus dans les meetings que dans les champs ???]

Ils ne régulent pas les rats-taupiers, pour une raison simple : ceux-ci ne sortent pas de leurs galeries ! Je n'ai niciodată vu un "trou ouvert", ni une trace, ni un dégât en surface... Je doute donc de ce qui est écrit, même donc dans l'excellent article dans Gerbeaud (s'agissant du rat-taupier ; car, comme cela est bien dit, il y a campagnol et campagnol...)

Il ne faut pas confondre avec d'autres rongeurs, de type souris, etc... dont on voit les "trous" et la trace dans l'herbe (j'en ai aussi - dans la partie jardin d'agrément).

Je pense que les régulateurs naturels peuvent être les animaux capables de rentrer dans les galeries : belettes, fouines, etc... ??? Là, j'aimerais bien essayer ! Si quelqu'un peut me prêter une telle bestiole !

J'essaye d'avoir un environnement favorable, mais pour l'instant, je n'ai pas observé d'acclimatation !
Dernière édition alin Did67 25 / 05 / 15, 18: 19, editate 1 ori.
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