Limitați încălzirea: câte CO2?

izentrop a scris:Mai multe detalii aici, dar când vorbim despre Sfântul Graal, aveți grijă că pielea de urs este încă foarte vie.

sicetaitsimple a scris:

izentrop a scris:Mai multe detalii aici, dar când vorbim despre Sfântul Graal, aveți grijă că pielea de urs este încă foarte vie.

Oui, d'autant que le captage, ça coûte "un pognon de dingue", mais on sait faire. Il y a eu dans les années 2005/2010 une multitude d'installations pilotes (à échelle réduite, traitant un pouillème des fumées d'une centrale, typiquement 1%) qui l'ont démontré, partout dans le monde. Tant mieux s'ils ont trouvé un procédé peut-être plus efficient.

sicetaitsimple a scris: Mais le vrai verrou, c'est le stockage géologique.

Obamot a scris:Toute une tartine pour ne... rien... dire de pertinent.

sicetaitsimple a scris: Mais le vrai verrou, c'est le stockage géologique.

...sicetaitsimple: “le retour...”

Lacătul REAL este ZERO EMISII!

Le scénario prospectif de l’ingénieur Fabien Esculier augure la possibilité de se passer totalement d’engrais de synthèse azotés pour l’alimentation de l’agglomération parisienne d’ici 2050 avec une évolution conjointe de la consommation et des pratiques agricoles ainsi que l’utilisation de matières fertilisantes issues de l’urine. La collecte séparée de l’urine et sa valorisation agricole permettrait d’éviter l’émission de 500 000 tonnes d’équivalent CO2 par an en Ile-de-France.

Si on utilisait l’urine des 12,1 millions de Franciliens comme engrais, cela pourrait permettre de produire du blé pour fabriquer 29 millions de baguettes par jour, soit 10 fois plus que leur consommation.

Pour nourrir les Franciliens, plus de la moitié des apports azotés sont des engrais de synthèse. Les impacts environnementaux de leurs fabrications sont non négligeables. Ainsi, la fabrication d’engrais azoté, consommatrice de gaz naturel fossile, est à la fois énergivore et émettrice de gaz à effet de serre. Quant au phosphore, il est extrait de mines fossiles, situées à l’étranger. Mais pourrait-on faire autrement ? Bien sûr, en agriculture, on utilise le fumier ou le lisier qui sont issus des déjections animales ? Et pourquoi n’utiliserait-on pas les déjections humaines, en particulier l’urine ? C’est la question que s’est posée l’Institut Paris Région en s’appuyant sur le territoire de l’Ile-de-France.
https://www.reussir.fr/le-pipi-des-pari ... griculture

Obamot a scris:de la terre, des vers de terre de l’urine et ça pousse (pas d’autres intrants, juste le job du mycélium)

izentrop qui si logisme monomaniac a écrit :Obamot qui fantasme
La note originale https://www.institutparisregion.fr/file ... 58_web.pdf